dimanche 18 décembre 2011

Le Sens de Mon Engagement pour Famoussa Coulibaly

Nous avons été interpellés par de nombreux frères et  sœurs, amis et connaissances par notre engagement politique au côté de notre jeune frère et désormais leader du Mouvement social et citoyen, le Rassemblement pour le Développement du Djiboua, le RDD.

Mouvement sous la bannière de laquelle se sont présentés Mr Famoussa COULIBALY, très proche collaborateur et jeune ami du Président de l’UDPCI, le Ministre d’Etat, Ministre du Plan et du Développement, le Docteur El Hadj Abdallah Albert Mabri TOIKEUSSE et Mr KOUASSI Yao, Secrétaire départemental adjoint du Rassemblement Des Républicains (RDR) parrainé par le Ministre ZAKPA Komenan Roland, responsable départemental du PDCI Sous préfecture et Coordonnateur Local du RHDP Divo.

Nos frères disent qu’en tant que Président du Forum pour le Développement Economique et Social du Djiboua – FODESD, nous ne devions pas être Directeur de Campagne du ticket officieux du RHDP Famoussa – Kouassi et que les idées développées dans le FODESD ont été utilisées comme Thèmes de Campagne de notre frère Famoussa. Et que cela n’était pas une bonne chose.

Je tiens à rappeler à tout le monde qu’avant de m’engager pour la victoire de Famoussa Coulibaly qui au demeurant a gagné réellement et véritablement les élections malgré que le nom d’un autre ait été proclamé pour des raisons dites d’Etat, j’ai informé les membres du Forum d’une réunion à Treichville que je m’investirai pour aider Famoussa pour diverses raisons.

La principale raison est fraternelle. Famoussa est mon jeune frère et il m’a toujours consulté et demandé mon soutien pour les événements majeurs de sa vie publique.  

Il est également un membre fondateur du FODESD et en tant que tel, je me dois de le soutenir comme je le ferai pour n’importe quel membre du FODESD qui aspirait à un poste politique. Famoussa aurait été proclamé Député de Divo, il aurait été un lobby de poids pour les actions du FODESD qui pourraient être contrariées par d’autres forces politiques comme cela a toujours été le cas à Divo.

En tant que citoyen, j’ai le droit d’avoir des opinions politiques. Comme la plupart des gens de ma génération, j’ai été au PDCI, puis militant de gauche dans les années 90, ensuite sympathisant puis militant du RDR avant de rejoindre l’aile politiques des Forces Nouvelles en tant conseiller spécial du Secrétaire Général Adjoint des Forces Nouvelles, le Nouveau député RDR de Gagnoa. Après cet intermède, je me suis mis en congé politique avant d’adhérer au Mouvement Houphouétiste pour faire gagner le Docteur Alassane OUATTARA. De ma jeune expérience, je crois que c’est ensemble que nous les Houphouétistes pouvons sauver la Côte d’Ivoire de son naufrage économique et social programmé. Un seul parti puisse t’il avoir 255 députés ne peut le faire. Et le ticket Famoussa-Kouassi pour ma ville natale était un ticket RHDP. Et je me devais de m’impliquer.

En définitive, c’est quoi le développement économique sans la politique? Lorsque nous parlons de développement, la politique est toujours en filigrane. Pour cette raison, nous ferons la politique pour servir notre ambition du développement du Djiboua.

Je suis fort heureux que la vision que nous avons lancé est aujourd’hui une réalité grâce à cette campagne des législatives, grâce à notre jeune leader Famoussa Coulibaly et son ainé sans oublier notre maitre le Ministre ZAKPA. 
Tellement notre vision est réelle que notre frère, le candidat golden boy, TOURE STEWARD BEN, a décidé de se joindre désormais aux actions au RDD pour l’épanouissement socio-économique du Djiboua. 

Même le candidat proclamé député demande à travailler avec nous. Des hommes politiques de la région tout bord confondu saluent l’avènement de ce mouvement du RDD. Car en somme, il s’agit de la conjugaison des Intelligences et des Ressources Divolaises pour amorcer son Développement.

Rien que pour cela, je ne saurai m’excuser de mon engagement. Néanmoins, je demande la compréhension de ceux qui n’avaient pas compris et que nous restons ouverts pour des suggestions constructives afin que le Djiboua se relève de sa profonde léthargie.   

Fraternellement,
Ali KONATE
Membre Fondateur du Rassemblement pour le Développement du Djiboua
Président du Forum pour le Développement Economique et Social du Djiboua
Directeur de Campagne aux Législatives du Ticket Famoussa Coulibaly – Kouassi Yao - RDD

mardi 16 août 2011

Sortir nos mères de Divo de la pauvreté


Nos mères, nos femmes, nos sœurs sont des battantes. Par leur courage, ils maintiennent la stabilité des foyers. Nous les voyons sur les marchés de Divo, sur les routes dangereuses de Bribori, de Datta, de Hiré, de Hermankono et des autres villages de la région les jours de marché, en train de chercher laborieusement la pitance pour la subsistance de la maisonnée, pour les fournitures des enfants à la rentrée ou pour des soins médicaux. Qu’Hommage leur soit rendu pour leurs soutiens aux familles.
Toutefois, malgré leur dynamisme, elles sont confrontées à l’épineux problème de financement et de gestion. Elles n’ont pas accès aux services bancaires parce qu’inaccessibles à leurs possibilités et à leur compréhension.
L’avènement des micro-finances a été perçu comme une aubaine. Et pourtant, les taux d’intérêts (27% à 35%) pratiqués par ces institutions ressemblent à  l’usure et partant à un goulot d’étranglement pour ces braves femmes.  Aussi de nombreuses femmes se sont elles retournées à leur vieille bonne tontine.
Cet instrument traditionnel d’épargne et de financement parait aléatoire du fait de sa faible structuration et de l’insécurité de la collecte.
Appel est très souvent lancé à la diaspora divolaise pour recevoir des « western-unions » ou des « money gram » pour le refinancement des activités commerciales. Souvent les sommes envoyées sont orientées vers d’autres besoins. On assiste très souvent au déclin de beaucoup de commerces qui au début étaient promis à un bel avenir.
Pourquoi ?    
Les entrepreneurs en général, les femmes en particulier, n’ont pas une vision industrielle de leur business du fait de leur faible éducation économique.
Même quand il y’a un peu de réussite dans leurs commerces, l’argent, au lieu d’être placé ou investi pour accroitre le business, est dépensé dans les cérémonies de mariage, de baptême ou de « sumu » pour « faroter » ou exhiber sa nouvelle position sociale de nouveaux riches. Il nous faut combattre cette mentalité pour l’éducation économique et l’encadrement rigoureux.
Comment sortir de cette impasse de la pauvreté ?
Nous pensons que l’application des règles de la finance islamique peut nous aider à répondre à la double question du financement et de la gestion.
La finance islamique, en accord avec le droit musulman, est basée sur deux principes : l'interdiction de l'intérêt et la responsabilité sociale de l'investissement. Elle lie plus étroitement la rentabilité financière d'un investissement avec les résultats du projet concret associé. L’islam interdit les transactions tant civiles que commerciales faisant recours à l'intérêt (ribâ), à la spéculation (gharar) ou au hasard (maysir).
Dans notre cas, il s’agira de combiner la micro-finance, telle pratiquée ou instaurée par Muhammad Yunus, le précurseur du micro-finance, le fondateur de la Grameen Bank, à la finance islamique.  
Cette combinaison qu’on peut nommer « DJIBOUA MICRO ISLAMIQUE FINANCE » peut un puissant instrument de lutte contre la pauvreté à Divo.
Comment financer ce projet ?
J’ai quelques pistes de réflexion là-dessus que je ferai partager plus tard. Néanmoins, j’attends vos commentaires, idées et suggestions pour combattre le sous développement mental et économique.

Par votre frère

Ali B. KONATE
Consultant en Management
Administrateur de société

Combattant dans l’armée du développement du Djiboua

lundi 15 août 2011

Se Rassembler pour Développer Divo - RDD

La conjugaison des intelligences politiques, sociologiques , ethniques et religieuses a favorisé l’avènement d'une nouvelle ère en Eburnie. Le Rassemblement des Houphouétistes pour la Démocratie et la Paix.
Ce rassemblement a été rendu nécessaire par l’état de dégradation avancé de la nation ivoirienne par dix ans de destruction (refondation) systématique de la nation sans plan de reconstruction. Ce pays a été effectivement refondé. Chômage des jeunes, avilissement moral de la jeunesse, endoctrinement, perte des valeurs sociales et sociétales, promotion de la luxure, dégradation  des infrastructures socio-économiques et j'en passe. Il fallait un sursaut des héritiers du bâtisseur pour sauver la maison commune. Et lorsque vous êtes Un, vous êtes Imbattables. Quelque soient les armes du camp adverse. Et en moins de 100 jours, les effets se font ressentir. Il commence à faire bien de vivre à Abidjan et bientôt en Côte d'Ivoire. Les odeurs nauséabondes et mortelles ont diminué, l'eau a commencé à revenir dans nos robinets et on commence à se laver sous la pompe au lieu des seaux. Les voies commencent à être dégagées, Melkro réhabilité, les nids de poule fermés, une télévision qui tend vers la modernité. Or donc, tout cela était POSSIBLE avec peu de moyens et beaucoup de volonté!     Dans le Rassemblement.


Le Djiboua était il y'a 20 ans et 25 ans l'une des plus belles cités du Centre Ouest de la Côte d'Ivoire.  Sa mairie était une fierté qu'on disait la troisième plus belle après celle de Yamoussoukro et de Daloa. Les artères principales étaient bien entretenues. Les ordures enlevées. Les services de l’Hygiène dynamiques. La ville vivait un bouillonnement culturel avec le Djiboua Théâtre et le groupe Woya. 
Divo était à l'avant-garde de la culture ivoirienne. Précurseur.  Sans prétention aucune, le Woya de Divo est le père de la musique urbaine ivoirienne. Le Lycée Moderne était un centre d’éducation d'excellence. Que de hauts cadres formés. 


Divo etait un grand centre de production agricole - Café - Cacao - Palmier à Huile - Bois Débités.          
Aujourd'hui Divo est l'ombre de lui même. Dans une léthargie profonde. A cause de la division de ses enfants, de ses cadres. De l'absence de leadership véritable dans la région.
Dans la nouvelle Côte d'Ivoire, le développement doit être impulsé de la base. 


Comme pour la Côte d'Ivoire, il nous faut Se Rassembler pour tracer les sillons du développement de notre village si chéri. Avec la Volonté et un peu de moyens, le développement de Divo peut reprendre là où l'a laissé le maire KONIAN Félécien François.    


La reconstruction de Divo doit commencer par un changement qualitatif de nos mentalités. Une petite action de chacun de nous peut être le premier pas. Exemple: S'organiser pour nettoyer la ville avec les balais que nous avons à la maison. Sensibiliser nos femmes, soeurs, mamans à ne pas verser l'eau sur la voie publique. Tout ça c'est le développement. A partir de là, créer une petite structure de salubrité dans la ville. Négocier avec le Conseil Général s'il existe ou la mairie le marché du nettoyage d'un quartier.    



Dans chaque quartier, créer un comité de gestion du quartier, une association de jeunesse, une association de femmes, à partir de cette structuration, monter des projets ou se faire assister pour le faire pour créer des petits emplois et partant lutter contre la pauvreté. La pauvreté n'est pas une fatalité mais c'est l'accepter comme héritage qui l'est.


Divo doit se relever. Et nous n'avons pas le devoir d'ingratitude vis à vis de notre village. Nous devons, enfants de Divo, nous rassembler pour son sauvetage et son développement.   


A bientôt pour d'autres articles pour le thème du rassemblement pour le Développement.


dimanche 10 avril 2011

Faisons confiance au Président OUATTARA

L’impatience gagne de nombreuses personnes parmi nous. Et cela à raison, car nous avons tous espéré à tort que les élections présidentielles signeraient la fin de nos incertitudes face à l’avenir et l’avènement d’une ère apaisée de bonheur, de cohésion nationale et de relance économique. C’était sans compter avec  l’intransigeance de notre frère et ancien chef de l’Etat, Laurent GBAGBO qui a fini par se convaincre qu’il détenait le titre de propriété de la Côte d’Ivoire. La Côte d’Ivoire, c’était lui et lui était la Côte d’Ivoire. Nous avons tous assisté à la matérialisation de cette vision par ses thèmes de campagne « Le Fils du Pays », « Pour la Côte d’Ivoire, Je vote GBAGBO », « Le candidat des Ivoiriens » et ainsi de suite.
Malgré l’expression d’un patriotisme fantasque et hautement faux, le sieur Laurent GBAGBO a été battu à plate couture par notre candidat. Alassane OUATTARA. Et notre frère GBAGBO refuse un transfert pacifique du pouvoir afin d’amorcer la construction de la nouvelle Eburnie, car s’étant identifié à la Côte d’Ivoire, il pense et dit à tous qu’après lui, c’est le chaos. Un chaos qu’il a préparé, planifié et qu’il est en train d’exécuter. Avec l’achat massif d’armes de destruction, le recrutement de chiens de guerre, la constitution de milices armées et l’endoctrinement des masses religieuses à l’effet de se donner en holocauste pour le règne du messie si attendu et annoncé pour faire de la terre d’Eburnie la nouvelle Jérusalem d’où partirait la libération totale des peuples d’Afrique. Imposture et forfaiture tout cela.
Relativement à la réputation de notre nouveau leader national d’Homme fort, de « bravetché », d’homme de réseaux et de relations, notre incompréhension grandit à ce que nous assimilons à une passivité de sa part. Nous sommes pressés à ce qu’il en finisse avec le nouveau leader de la république souterraine du Bunkeristan car nous sommes convaincus qu’il en a les capacités. Nous n’attendons pas de lui un prix Nobel de paix. Le Parti Ivoirien des RADICAUX, le PIR dont les rangs se gonflent de jour en jour attend de lui qu’il enfume le Bunker pour faire sortir l’homme-rat. Tout le monde a raison.
Toutefois, le Président, bien qu’étant conscient de tout, agit comme le sculpteur Jacob Epstein, l’ami de l’écrivain anglais, George Bernard SHAW. Il alla rendre visite à son ami et remarqua un gros bloc de pierre. Il lui demanda ce qu’il voulait en faire. Le sculpteur lui répondit qu’il ne savait pas encore et qu’il était en train d’y réfléchir. Et Shaw se montra surpris et dit « Cela signifie t’il que vous planifiez votre inspiration ? Ne savez-vous pas qu’un artiste doit être libre de changer d’avis quand il le désire ? » Et le sculpteur de lui répondre : « C’est exact quand vous n’avez, si vous changer d’avis de déchirer une feuille de papier de cinq grammes. Quand vous avez affaire à un bloc de quatre tonnes, vous devez procéder autrement ». La morale de cette conversation racontée par l’écrivain brésilien Paulo Coelho dans son livre Maktub : « Chacun de nous connait la meilleure manière de faire son travail. Seul celui qui réalise une tâche en connait les problèmes particuliers.»
Ainsi la Côte d’Ivoire n’est pas une feuille de papier mais un bloc de pierre de plus de 300 000 Tonnes et le Président doit agir en toute sagesse et la transformer en une nation fraternelle. Je demande à tous militants radicaux de lui faire confiance car il a la solution. Bientôt, nous aurons la délivrance.
              
           

mercredi 23 février 2011

DÉFINITION DE LA REVOLUTION (Wikipedia)

Une révolution est, au sens politique ou social, un mouvement politique amenant, ou tentant d'amener, un changement brusque et en profondeur dans la structure politique et sociale d'un État, et qui se produit quand un groupe se révolte contre les autorités en place et prend ou tente de prendre le pouvoir. Le terme de révolution peut être utilisé par un gouvernement se présentant comme révolutionnaire pour qualifier l'ensemble de ses politiques, alors même que sa prise du pouvoir est effective et achevée.

Par extension, on appelle révolution (renversement, étymologiquement) tout changement ou innovation qui bouleverse l'ordre établi de façon radicale dans un domaine quelconque (la théorie héliocentrique est ainsi considérée comme étant une révolution scientifique).

mardi 22 février 2011

Get Ready for Revolution Time

Chers frères, notre pays est aujourd’hui le théâtre d'une guerre d'hégémonie pour deux puissances africaines, l'Afrique du Sud et le Nigeria. Sinon d’une volonté de l’impérialisme sud africain en Côte d’Ivoire. Comment comprendre l’attitude de Monsieur ZUMA dans la crise post électorale ivoirienne ?

Pour rappel, Monsieur ZUMA soutient Robert Mugabe. Il soutient André MBA OBAME, le président autoproclamé de la république du PNUD à Libreville. Donc son soutien à Monsieur Laurent GBAGBO est la suite logique de cette volonté d’impérialisme sur le continent africain enrobé dans la promotion de l’idéologie de la renaissance africaine et de la guerre contre le néo-colonialisme.

In fact, Mr. ZUMA as Mr. MBEKI is a businessman. The first ideology he’s struggling for is, indeed, Trade. How set up South African companies on other African countries not in fair way?

Derrière toute action politique en apparence altruiste sur le continent se cache une stratégie d’implantation des entreprises sud africaines dans des pays importants.

Il y’a également la lutte pour le contrôle du siège africain au conseil de sécurité des Nations Unies.

Comme nous l’a déjà montré nos frères du Maghreb et l’a indiqué le Premier Ministre SORO K. Guillaume, il nous faut amplifier la révolution. Il nous faut avoir la foi dans la victoire. La foi ne doit pas être aveugle. Elle doit voir déjà la manifestation et la victoire de la démocratie dans notre esprit avec l’avènement du Président OUATTARA dont la politique apportera de meilleures conditions de vie et une visibilité sur l’avenir. Elle doit se nourrir de l’espérance de la Justice.

Mr ZUMA n’a pas le même objectif que nous et nous n’avons pas le même but que lui. Alors préparons nous à amplifier les actions révolutionnaires

vendredi 5 novembre 2010

UNISSONS NOUS

Depuis 5 ans, le RHDP a été conçu, il est en marche et marche bien. C'est une plateforme de gens responsables et respectueux de la parole donnée. C'est son existence qui nous a permis d’éviter au pays plusieurs bains de sang que certains affectionnent car éduqués dans la paix et à la paix. Pour d'autres, le sang parle mieux au peuple, pas pour le RHDP. Un programme commun de gouvernement a été signé à Yamoussokro. Tous doivent surmonter les petits calculs, les rancœurs inutiles et les orgueils mal placés pour se mettre en ordre de bataille. Une seule question à se poser: Veut-on continuer vers la régression sociale, morale, économique et politique ou veut-on amorcer le véritable développement de notre pays?

KOUDOU pendant 10 ans nous a montré son incapacité notoire à diriger et à conduire la nation vers le progrès. Pendant son "90 minutes", il nous a dit qu'il est un homme politique et que ce sont les techniciens qui lui ont dit qu'on pouvait créer plus 800 000 emplois en 5 ans. Et pourtant le bon leader est celui qui sait faire ou qui sait comment faire qu'il demande aux autres de faire.

Concentrons nous sur les programmes de gouvernement, analysons les comportements de nos dirigeants et pensons à la nation, la Côte d'Ivoire.

Pendant 10 ans en effet, nous avons fait la politique, maintenant le prix du litre de l'huile est 950 Frs CFA, le kilo de sucre est 1000 frs CFA, le sac de 15 Kgs de riz autrefois à 5500 Frs est à 7500 Frs. Le Fils du pays, socialiste à souhait et nationaliste à dessein, a bradé le pays aux indiens, aux chinois et aux français à 1 Frs symbolique. Il est devenu plus libéral que les libéraux de souche.

Alors une fois de plus, unissons nous pour faire triompher nos idéaux de paix, de progrès social et de prospérité économique au second tour de l’élection.

Nous devons soutenir nos frères du pays dans leur mécontentement car il y'a eu effectivement fraude et technologie électorale à une grande échelle. Les manifestations du PDCI sont faits pour attirer l'attention sur ce phénomène et se laisser surprendre au second tour.

Merci et à plus